Gagner le Naniwrimo est un défi personnel, certes, mais c’est aussi l’occasion de remporter des réducs sur plusieurs produits dont 50% sur Scrivener. A 20€, j’ai sauté sur l’occasion en juin dernier, après l’avoir testé pendant un mois (période d’essai gratuite). Résultat, ma production écrite a vraiment augmenté. Voici un aperçu de mon utilisation de ce logiciel.
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>> EDIT du 8 juillet 2015 : Ajout d’un lien sponsorisé vers la page d’achat du logiciel Scrivener. Cela ne change en aucun cas la review que j’ai faite du logiciel il y a quelques mois.
Un logiciel d’écriture mais pas que
Scrivener est un logiciel d’écriture développé par Litterature and Latte, une société qui développe aussi Scapple (outil de mindmapping que je n’utilise pas… Je préfère prendre des notes sur papier ^^).
Scrivener, c’est d’abord un logiciel qui permet de travailler sur un projet de la phase de recherche / planification à la phase publication en passant par la rédaction et la réécriture. À l’heure actuelle, je l’utilise pour écrire et organiser mon blog. Je l’ai donc surtout testé dans la phase d’écriture et de réécriture mais je vais essayer d’être complète dans cette présentation.
Le catalogue des logiciels de Litterature and Latte (en anglais) :
Premiers pas
>> Le site de l’éditeur de Scrivener est entièrement en anglais mais le logiciel est traduit. Il fonctionne sous Windows, Mac et Linux, ce qui n’est pas pour déplaire la fan de Mac que je suis.
Créer un projet dans Scrivener revient à ouvrir, pour ce projet, un grand classeur. Soit vous décidez de créer un projet à travers un modèle – et le classeur vous sera alors fournis avec un jeu l’intercalaire et de pochettes – soit vous décidez de créer un projet sansrien et le classeur sera vide. Quelque soit la manière de procéder vous pourrez de toute façon ajouter et retirer intercalaires et pochettes pour façonner un classeur à l’image de votre projet.
Dans mon cas, la plupart de mes projets prennent cette forme :
- un dossier Journal de bord (avec des sous dossiers : journal d’avancement, to do, statistiques)
- un dossier Recherches (avec des sous dossiers : personnages, lieux ou encore idées)
- un dossier Manuscrit (qui comme son nom l’indique comporte le manuscrit en cours de rédaction, découpé sous la forme de sous dossiers chapitre 1, chapitre 2… Eux même composés d’un document texte par scène)
- un dossier Réécriture où je stocke les morceaux de textes retirés et autres modifications.
Pour blogger, mes dossiers sont un peu différents. J’ai un dossier par année, avec un sous-dossier par mois. Dans chacun, mes posts de blogs avec pour titre, la date à laquelle ils seront publiés. J’ajoute un texte pour le suivi des statistiques mensuelles.
Mon utilisation de Scrivener
La phase de recherche
Dans Scrivener, il est possible d’intégrer des images, des pdf, des pages web. Vous pouvez aussi intégrer des éléments de chrologie et de mindmapping à partir de Srapple. Bref, de conserver l’ensemble de vos recherches préalables au même endroit.
Sauf que ce n’est pas vraiment ma manière de procéder ^^. En effet, j’ai tendance à gribouiller mes idées sur papier et à faire mes recherches au fur et à mesure de l’écriture (voire lors de la réécriture si j’ai eu la flemme de m’en charger en cours de route). Aussi, je n’utilise clairement pas l’ensemble des possibilités de Scrivener à ce niveau-là. Je me limite à y mettre au propre mes fiches personnages et mes fiches de lieux.
La phase de rédaction
C’est clairement à cette étape-là que le logiciel s’est avéré un outil précieux pour moi. Depuis plusieurs années, j’écrivais sous Microsoft word puis sous Open office. Deux traitements de texte tout à fait corrects dans leurs fonctionnalités mais pas vraiment pensé pour manier des longueurs immenses de texte (difficile d’y embrasser l’intégralité de son texte, même en maîtrisant les feuilles de style). Pour m’en sortir, je créais un document texte par chapitre et Scrivener m’a permis de pousser plus loin encore ce découpage.
Sur ce logiciel, chaque document texte a son identité propre. On peut lui donner un titre, un résumé, un objectif de mots ou encore des mots-clé et un statut (en cours, premier brouillon…). Et chaque texte peut-être déplacé d’un glisser-déposer dans autre dossier. Si cette scène n’a plus sa place dans ce chapitre, pas la peine de la sélectionner entièrement, de la couper et d’aller la placer au bon endroit. Il suffit de sélectionner et de déplacer. (Oui, c’est magique !)
Après avoir gribouillé mon plan sur papier, je crée mon roman dans le dossier Manuscrit. Il y a le chapitre 1, composé de 1, 2, 3, 4 scènes (j’ajoute 4 documents textes dans mon dossier chapitre 1). Au besoin, je décris chacune des scènes dans la case résumé qui accompagne les documents. Et je recommence pour le chapitre 2 et les autres. En vue liste, mon roman se déroule sous mes yeux.
Une fois que j’en suis là, il n’y a plus qu’à rédiger… Pour ça, Scrivener n’est pas magique : il n’écrit pas tout seul 😉 Et il ne dispose de pas grand chose de spécifique, sinon un mode plein écran et la possibilité de fixer des objectifs.
La phase de réécriture
La phase de réécriture étant une phase de remaniement du texte et de corrections successives, les outils des traitement de texte m’ont toujours semblé un peu limité. Comment manier facilement 90 pages A4 de texte ? Avec ses fonctions de mots-clé, de statuts et de notes/commentaires, Scrivener est très pratique. Sans compter la possibilité de dupliquer un contenu, d’enregistrer son état à plusieurs reprises et de restaurer l’ancienne version, si nécessaire.
Je regrette pas contre l’existence d’un mode de révision tel que celui qui existe dans Microsoft Word et qui permet de voir les modifications faites par un peu autre lecteur / correcteur et de les intégrer. Il est cependant possible d’exporter son texte en .doc et de profiter ensuite des avantages de Word.
Si je me trompe et qu’il existe bien un mode de révision collaboratif dans Scrivener, n’hésitez pas à me le préciser dans les commentaires, je l’ai peut-être raté… Cela dit, le nombre d’utilisateurs de Scrivener étant encore faible, pas facile de trouver un correcteur qui fonctionne sous ce logiciel. 🙂
La phase de compilation / publication
Les possibilités d’export des documents réalisés sous Scrivener sont nombreuses mais j’avoue ne pas encore les maîtriser complètement.
Il est possible d’exporter son projet sous le format .doc pour le remanier encore un peu. Lors de ma précédente expérience, j’ai eu pas mal de retouches à apporter suite à l’export (niveaux de titre, table des matières, numéros de page, ou encore certaines typos ayant mal supporté l’export). Mais peut-être m’y suis-je mal prise… Je retenterai et ferai un tutoriel la prochaine fois si ça va mieux.
Scrivener permet aussi de publier directement son texte sous la forme d’un epub ou d’un pdf. Pratique si vous souhaitez le publier électroniquement. Là encore, je suis dans une mauvaise posture pour vous en parler puisque je ne l’ai jamais fait. Il existe pas mal de tutoriaux bien faits.
Bilan du test
En conclusion, si Scrivener est un logiciel très complet pour l’auteur, j’ai pour ma part tendance à l’utiliser comme une boîte à outils : je pioche les fonctionnalités qui me plaisent et n’utilise pas les autres. Du fait de son abondance de possibilités, certains le trouve difficile d’accès. J’avoue que ce n’a pas été mon cas, que je l’ai trouvé assez intuitif… Mais j’ai un petit côté geek et j’adore découvrir de nouvelles apps er outils d’écriture ce qui n’est pas forcément le cas de tout le monde, j’en conviens. ^^
Bref, c’est un outil que j’aurais tendance à conseiller, pour voir. La démo est gratuite pendant un mois, ça n’engage pas à grand chose 🙂 Peut-être trouverez vous des fonctionnalités qui vous intéressent, peut-être que le logiciel sera bien trop alambiqué…
Les plus :
- Visuel – Il permet de voir en une vue l’ensemble de son roman. De plus, il est possible de visualiser son roman sous la forme d’un plan détaillé scène par scène ou d’un tableau de liège (je sais que ça plaît, en général).
- Métadonnées – Les mots clés, les étiquettes et les status, qui permettent de ne pas chercher ses scènes pendant des heures
- Organisation – La possibilité d’avoir tous les éléments de son roman dans un même dossier. Fini les images qui trainent dans un coin, les idées qui traient dans un autres et les onglets ouverts en masse dans le navigateur.
Les moins :
- Automatisation de l’écriture – Si je suis plus efficace maintenant, j’ai l’impression que mon écriture a un peu perdue en joliesse… (Du moins sur le premier jet) C’est l’un des problèmes de la planification à outrance il me semble ( mais c’est là très subjectif)
- Export – Un peu compliqué, il oblige à apporter des modifications ensuite.
- Difficulté de prise en main – Si je n’ai pas été confrontée à cette limite, certains auteurs m’ont dit avoir pas mal galéré au départ.
Intéressé(e) par Scrivener ?
Découvrez-en plus sur Scrivener et achetez le logiciel sur le site de Litterature and Latte (lien en anglais) :
- Pour les étudiants sur Mac (discount de 15%) : Buy Scrivener 3 for macOS (Education Licence)
- Pour les utilisateurs sur Mac : Buy Scrivener 3 for macOS (Regular Licence)
- Pour les utilisateurs sur PC : Buy Scrivener for Windows (Regular Licence)
Crédit image : Un ordinateur et un bloc note… tout ce qu’il faut pour écrire un roman (Pixabay, CC0). Les captures d’écran de Scrivener sont de moi.
25 comments
Merci pour ce petit résumé sur Scrivener. Beaucoup de personnes l’utilisent et j’ai moi même essayé de l’intégrer dans mon workflow, sans succès. Je le trouve trop complexe avec une interface distrayante. J’ai essayé différents logiciels pour trouver celui qui me conviendrais le mieux et je suis revenu à la base avec un traitement de texte simple : Pages, et Numbers pour la phase préparation et découpage de l’histoire (respectivement les équivalents de Word et Excel).
C’est vrai qu’il y a, dans Scrivener, pas mal de fioritures qui peuvent te détourner de l’écriture même…
Ce qui me pose problème avec un logiciel comme Pages (que je n’ai jamais essayé mais qui ressemble dans l’idée à Microsoft Word, sauf erreur de ma part), c’est que sur de longs projets, j’ai l’impression de ne pas voir la fin… alors que le découpage par scènes de Scrivener me donne l’impression que le travail est plus morcelé, plus court, plus simple. (ça fait moins peur de s’attaquer à une scène de 1000 mots qu’à un roman de 100 000 ^^).
Pour ma part, j’ai testé Scrivener mais j’ai eu du mal avec son interface trop complexe/riche/distrayante malgré des fonctions indéniablement intéressantes. Du coup, j’ai testé d’autres apps qui pourrait le remplacer et j’ai fini par trouver l’app (presque) parfaite : Ulysses. Elle n’est disponible que sur OSX/iOS et coûte 45€. Une interface qui sait se faire discrète pour un logiciel néanmoins puissant (mais pas aussi complet que Scrivener).
En fait, l’idéal pour moi serait un logiciel aux fonctionnalités de Scrivener avec l’interface et la simplicité d’utilisation d’Ulysses. 😉
Oui, ça ne m’étonne pas. Si tu veux quelque chose d’intermédiaire, il y a bien Scribbook. C’est une application web en cours de développement assez intéressante qui permet les mêmes fonctionnalités que Scrivener, mais plus épurée.
Bonjour,
J’ai regardé Scribbook, mais je reste perplexe. Pour un auteur, le texte, c’est quand même son « trésor », ce qu’il a de plus précieux.
Et le confier à un outil en ligne comme Scribbook, dont on ne sait où sera stocké ce texte, ni avec quelles garanties de sécurité, de confidentialité, de propriété… je suis réticent.
Je préfère un outil comme Scrivener (que j’ai très vite acheté vu son prix modique) et que je découvre petit à petit, ou comme Ywriter que j’utilisais jusqu’alors, plutôt que confier mes textes à … on ne sait qui sur le web…
Même si l’auteur de Scribbook est de toute confiance et de bonne foi, son hébergeur peut rencontrer des difficultés ou le site peut se faire hacker, et là, fini l’accès sécurisé aux données…
Je comprends vos réticences et je plussoie votre utilisation de Scrivener. Après, à titre personnel, je suis assez sceptique vis-à-vis de cette peur : d’une part, vos informations ne sont pas forcément plus protégées sur votre ordinateur qu’en ligne et d’autre part, qui est intéressé par un livre non fini alors que des milliers de manuscrits sont envoyés aux maisons d’édition 🙂
[…] les révisions, je n’ai pas encore trouvé la méthode. J’utilise Scrivener pour l’organisation et le réseau social Pinterest pour affiner mes descriptions (article la […]
Le logiciel a l’air cool ! Personnellement, j’utilise StoryBook, mais je déplore un peu l’absence d’un traitement de texte intégré dans le logiciel, ce qui fait qu’à chaque fois que je veux modifier une scène, je suis obligée de la chercher dans le traitement de texte.
Comme le prix me rebute un peu, je pense que je continuerais avec StoryBook 🙂
J’ai discuté avec quelques personnes qui n’étaient pas adeptes de ce genre de logiciel. C’est bien de préciser que le logiciel n’écrit pas tout seul, car certains semblent le croire ahaha !
C’est vrai que le fait que ce ne soit pas gratuit peut gêner 🙂 J’ai tendance à aussi opter pour la gratuité mais c’est vrai que je cherchais quelque chose de plus efficace que mon OpenOffice. Je ne connais pas du tout le logiciel dont tu parles, j’y jetterai un coup d’oeil par curiosité.
C’est vrai que certaines personnes sont rebutés par la complexité du logiciel qui peut les perdre ou les distraire !
Merci pour votre article dans lequel je me retrouve ! J’ai pas mal cherché avant de me lancer et de tester Scrivener. Même si au début, j’ai été rebuté par toutes ses options, au final, je gagne beaucoup de temps à organiser complètement mon travail dans ce logiciel, mais aussi pendant la phase d’écriture.
Difficile de revenir en arrière avec xxxOffice.
Le prix (40 € environ) me laissait un peu sur la réserve, mais finalement, je ne regrette pas du tout mon achat.
J’ai partagé votre article sur mon site.
Merci pour votre retour et le partage. Avez-vous eu l’occasion d’utiliser l’outil d’exportation ? Je serai contente d’avoir votre retour sur ce sujet 🙂
Oui, j’ai utilisé l’outil export à plusieurs reprises. C’est assez simple. Il suffit de cliquer sur export. Mais je pense que vous voulez parler de l’outil « compilation ».
Oui, effectivement, je parlais de la compilation. Je l’ai trouvé compliquée, avec des soucis pour séparer les scènes, les chapitres, obtenir les bons tirets de parole…
Ca parait compliqué, mais en fait ça ne l’est pas. Ce qu’il faut impérativement faire, c’est régler TOUS les paramètres que l’on souhaite avant de compiler. Et ne pas hésiter à faire des essais de compilation. C’est ce que j’ai fait et petit à petit, j’ai réussi à obtenir le résultat que je voulais. Ca demande un peu de temps car les réglages sont nombreux. Mais quand tout est bien paramètré, ce n’est que du bonheur ensuite.
C’est en « farfouillant » dans les paramètres, très précis et avec de nombreuses options, qu’il est possible de compiler son texte avec finesse.
Oui, il faut y aller à tâtons. Je n’avais pas eu la patience de le faire la dernière fois et j’avais apporté mes modifications directement dans le document word généré par Scrivener. J’essayerai de mieux m’y pencher la prochaine fois 🙂
bonjour,
J’utilise Scrivener dans toute la phase de préparation, pour ce que je sais de mon histoire à ce moment-là parce que forcément, elle évolue ! Je complète donc ensuite les différentes rubriques de Scrivener afin d’avoir un dossier complet de mon roman. (images, idées, notes…)
J’ai découvert avec bonheur le scène-à-scène en liste qui m’évite de faire sous Word ou Excel ce que je faisais précédemment à savoir un séquencier (méthode Elizabeth George) ; c’est plus facile à mettre à jour sous Scrivener.
Je trouve bien aussi les mots-clés pour rechercher les scènes.
Par contre, je n’en suis pas encore arrivée au moment d’utiliser la compilation…
Bref, un outil véritablement fait pour une écriture longue, outil que j’ai découvert avec bonheur il y a deux ans maintenant.
Merci pour ton blog que j’ai plaisir à lire parce que j’ai les mêmes centres d’intérêt, idées, questions…
Contente que le blog te plaise 😉
Je vois que tu as une façon d’utiliser Scrivener assez proche de la mienne. Je suis un peu trop désorganisée pour réaliser une vraie ‘Bible’ (ce dossier où sont rassemblées toutes les infos que l’on a sur un texte…) mais j’essaye de m’améliorer.
Bonjour,
Merci pour toutes ces explications. Par contre, je vois dans les photos de votre logiciel, que la barre « binder »… est en français ? (vous avez « classeur » et non « binder »). Est-ce que ça veut dire que je n’ai pas téléchargé la version française ? Comment avez-vous fait ? Merci et bonne continuation. Bien à vous,
Je rencontre le même problème… Avez-vous eu une réponse ? Merci
Bonjour ! Heu… Je ne sais plus… Il y avait effectivement une version en français quand je l’ai acheté. Avez-vous essayé de changer la langue du logiciel ?
Bonjour,
J’ai lu votre article avec intérêt puisque j’hésite à m’acheter Scrivener…. J’ai vu qu’il était à 40 euros ou presque. Ce qui pour une étudiante qui rêve d’écrire n’est pas une somme facile à dépenser. Les pâtes pour ce nourrir ou le logiciel de rêves d’écriture gros dilemme.
J’aimerais savoir… Quand tu payes Scrivener (les 40 euros), tu payes pour un abonnement que tu dois renouveler au bout d’un an, d’un mois ou une fois que tu l’as acheter tu n’as plus à te préoccuper de repayer ?
Si c’est un achat a durée indéfinie ça me va… Si c’est un abonnement pour quelques mois, je ne crains qu’il soit beaucoup trop cher pour moi.
L’avantage de Scrivener, c’est qu’il s’agit d’un achat de logiciel : tu paies une fois et tu bénéficies du logiciel à vie (dans la limite des changements de technologies, hein). Du coup, c’est 20€ une fois (même un peu moins car l’achat se fait en dollars).
Article très complet , pour moi qui souhaite recommencer l’écriture, cela me donne de nouvelles pistes (je ne suis jamais allé chercher plus loin que word et open office), merci 🙂
Bonjour !
J’ai lu l’article deux fois car mon français est celui de Montreal (rire). J’ai débuter une histoire en Français sur Wattpad en Anglais. Et je me retrouve quand meme bien, pour l’ecriture. On me dit que Wattpad est le meilleur logiciel présentement. Puis j’ai été voir quelques autres. Scribook, Scrivener, WriteControl et etc. Alors, maintenant, tout mêle !?%@%*&. Chez nous, on dit » Chus mele en colisssss.
Je voudrais juste écrire un .bouquin que je Publierai ou je voudrai. Juste écrire.
Quelle logiciel est le plus ……. pour écrire un bouquin ? Gratuit ou juste pour les riches ?
J’avais l’intention d’ecrire une partie en Anglais et une en Français. Est-ce possible ?
Je vis en Colombie-Britannique, au Canada, en Amérique. Je te le précise car ou je demeurais, les gens ne connaissaient pas le Canada (rires), quand j’habitais la Californie.
Merci de me lire,
Bonne Journee
Bonjour ! Je sais où est la Colombie-Britannique XD
Pour écrire, il y a un max de logiciels différents et Wattpad n’en est pas vraiment un : il sert surtout à publier !
Je vous invite à regarder dans cet article pour un comparatif complet des solutions existantes :
https://www.mecanismes-dhistoires.fr/choisissez-le-logiciel-de-traitement-de-texte-pour-ecrire/