Chicklit, dark romance, steampunk… 17 nouveaux genres littéraires à la mode décryptés

by Marièke

Chicklit, dark, anticipation… Il y a quelques semaines, Audrey Arrow me contactait pour me demander si j’avais déjà écrit quelque chose à propos de ces genres littéraires à la mode auxquels elle n’était pas sûre de comprendre grand chose. Et comme j’avoue que je n’y comprenais rien non plus, j’ai décidé de faire le point sur ces différents genres et sous-genres littéraires.

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Avant de commencer : genres littéraires, genres narratifs

Au moment de commencer cet article, j’ai fait ce que tout le monde fait : j’ai googlé l’expression « Genre littéraire ». Il en est ressorti qu’il s’agissait avant tout d’un outil pour classifier la production littéraire en fonction de ses caractéristiques. Il existe plusieurs grandes familles de genres littéraires, elles-mêmes divisées en genres littéraires, elles-mêmes divisées en sous-genres littéraires.

J’ai réalisé l’infographie qui suit pour vous permettre de replacer tous ces genres littéraires :

17 nouveaux genres littéraires à la mode

Si vous avez écouté un peu en cours de français, la majorité de ces genres devraient vous rappeler quelque chose. Les 17 « nouveaux » genres narratifs cependant, doivent un peu moins vous parler. Ce sont ces derniers que je vais traiter aujourd’hui 🙂

Un sous-genre de la biographie

La biographie telle qu’on la connait depuis des centaines d’années existe encore mais c’est désormais un sous-genre tout nouveau qui s’impose : l’autofiction.

#1 L’autofiction

L’autofiction est une forme romancée de la biographie. Si elle fonctionne, comme la biographie, sur une confusion des « Je » (auteur, narrateur, personnage principal), elle s’appuie sur les ressorts de la narration. Les romans d’Amélie Nothomb sont représentatifs du genre. Je vous avais parlé de ce genre pas comme les autres dans un précédent article car je voyais beaucoup de nouveaux auteurs tentés par ce genre qui est loin d’être facile à maîtriser.

Les sous-genres de la romance

La romance – aussi appelée roman d’amour – s’est particulièrement développée dans la période de l’après Seconde guerre mondiale. Ce n’est donc pas étonnant que de nombreux sous-genres aient éclos à ce moment-là.

#2 La chicklit

La chick-lit ou chick lit (à ne pas confondre avec la bit lit, qui met en scène des romances de vampires) désigne un genre littéraire écrit par les femmes pour les femmes. Souvent écrit en narration interne à la première personne du singulier, il use d’un ton désabusé, moqueur. Les thématiques abordées ne sont pas tant les relations sentimentales que les relations de la protagoniste principale avec l’ensemble de ses proches : famille, amis… Bridget Jones ou Le diable s’habille en Prada sont des symboles de ce genre littéraire.

#3 La dark romance

La dark romance, ou romance sombre, est une romance où les interdits et les tabous cohabitent. Ce genre découle du young adult et ses protagonistes sont souvent des jeunes adultes qui se découvrent sexuellement. Il découle aussi du succès de Fifty shades of Grey (Cinquante nuances de gris en VF) jugé trop sage. Les relations mises en scène peuvent être contestées par la loi ou par la morale (inceste, prostitution…). Dans ce genre, l’amour, la violence et le désir s’expriment. Calendar Girl, par exemple, met en scène une call girl qui, chaque nouveau mois, se retrouve dans une nouvelle ville pour rencontrer un nouvel amant.

#4 La romantic fantasy

La romantic fantasy, comme son petit nom l’indique, est un genre qui fait la part belle à la romance dans un univers fantasy. La romance entre les protagonistes va donc être un arc important de l’histoire, voire essentiel.

Dans la même veine, il existe aussi la bit lit (la romance de vampire, dont Twilight a été le fer de lance), la romance historique, la romance paranormale, la romance policière… L’ensemble de ces sous-genres mixent les influences et les univers.

Un nouveau sous-genre du roman policier

Le roman policier est lui-même un sous-genre du roman d’aventures ou thriller.

#5 Le true crime

Le true crime est un sous-genre récent du roman policier que j’ai découvert en travaillant sur cet article. Il est à la frontière de la non-fiction puisqu’il s’agit de mettre en scène le récit d’une histoire vraie, d’un vrai crime. Cela s’apparente beaucoup au journalisme. De sang-froid (In cold blood) de Truman Capote, le récit du quadruple meurtre d’Holcomb (Kansas), de sa préparation jusqu’à l’exécution des deux meurtriers, passe pour le chef-d’œuvre du true crime.

Les sous-genres de la science-fiction

A l’imagine de la romance, les littératures de l’imaginaire (science-fiction, fantasy et fantastique) ont explosé ces dernières années. Ces trois genres littéraires ont vu se développer leurs sous-genres. Suivent quelques uns.

#6 L’anticipation

Une oeuvre d’anticipation décrit le monde tel qu’il pourrait l’être dans un futur proche ou plus lointain. Pour ce faire, les auteurs puisent dans les maux de leur époque pour les extrapoler et montrer comment ils pourraient agir sur le monde. La majorité des romans de Jules Verne peuvent être classés dans l’anticipation, de même que les chef d’oeuvre 1984 de G. Orwell, Nous autres de I. Zamiatine ou Le meilleur des mondes de A. Huxley.

#7 Le steampunk

Le steampunk est un mouvement littéraire caractérisé dans les années 1980 qui met en scène des intrigues qui ont le plus souvent lieu au XIXe siècle en Angleterre pendant la révolution industrielle (à l’invention du charbon et de la vapeur). C’est pourquoi on parle aussi d' »uchronie steampunk » ou de « rétrofuturisme ». Certains romans de Jules Verne ont été par la suite rangés dans le mouvement steampunk car ils donnent la part belle aux matériaux nobles que sont le cuivre, le laiton, le bois et le cuir.

#8 Le cyberpunk

Le cyberpunk est un sous-genre de la Science-fiction qui met en scène un monde où la cybernétique est extrapolée dans ce qu’elle a de pire. Les mondes cyberpunks sont empreints de violence et de pessimisme ; ils sont souvent lugubres, parfois ironiquement grinçants ; les personnages sont des antihéros désabusés, cyniques et cupides. Neuromancien, de William Gibson, est le chef d’oeuvre du genre. Dans cette oeuvre, la technologie remplace peu à peu l’être humain.

#9 Le space opera

Le space opera ou l’opéra de l’espace est un sous-genre de la science fiction qui fait cohabiter des aventures épiques se déroulant dans l’espace dans un contexte géopolitique épineux. Apparu formellement dans les années 1940, le genre se développe au début des années 1980 avec les sagas Star Wars et Star Trek (même si Star Wars appartient plus à la space fantasy du fait de la Force).

#10 L’utopie et la dystopie

Utopie et dystopie sont certainement les genres les plus anciens de cette liste (l’utopie est un genre caractérisé par Thomas More avec son oeuvre Utopia en 1516) mais ils reviennent en force aujourd’hui. Dans l’utopie, un monde meilleur (parfait) est imaginé, tandis que la dystopie, à l’inverse, invente le pire des mondes. Hunger Games et Divergente, les deux trilogies young adult sont par exemple des dystopies puisqu’elles montrent des mondes partis à la dérive.

#11 L’uchronie

Comme l’utopie et la dystopie, l’uchronie n’est pas un sous-genre récent de la science-fiction. Il n’empêche qu’il reste un genre à la mode. L’uchronie consiste à réécrire l’histoire autrement. Et si les dinosaures avaient continués d’exister ? Et si Hilter avait été assassiné ? Et si la Révolution française n’avait pas eu lieu ? Et si…

Les sous-genres de la fantasy

#12 La dark fantasy

La dark fantasy, ou fantasy noire, désigne des oeuvres qui évoluent dans une ambiance très sombre, oppressante, à la limite de l’Apocalypse. Les notions de bien et de mal se mélangent (bien plus que dans la fantasy classique) et les personnages sont abattus par les épreuves qu’ils traversent au point de commettre des actes violents. La tour sombre de Stephen King est rangé dans la dark fantasy, de même que la saga Games of Thrones de GRR Martin (pour son côté politique / thèmes plus « adultes »).

#13 L’urban fantasy

L’urban fantasy, ou la fantasy urbaine, est un genre qui fait se côtoyer créatures magiques et centre urbain où la technologie est assez développée (après la révolution industrielle en général, la plupart des oeuvres abordant la deuxième moitié du XXe siècle). De nombreuses séries peuvent être classés dans cette catégorie : Charmed, Once upon a time, Neverwhere

#14 L’heroic fantasy

L’heroic fantasy, ou merveilleux héroïque, est en genre littéraire qui présente un récit héroïque dans le cadre d’un monde merveilleux. La différence entre la high fantasy et l’heroic fantasy est que le premier se concentre sur un groupe de personnages tandis que le second se concentre sur deux, trois personnages maximum. L’Assassin royal, de Robbin Hobb en est un bon exemple.

#15 La space fantasy

La space fantasy est un genre littéraire alliant space opera et fantasy, considéré autant comme un sous-genre de la science-fiction que de la fantasy. Géopolitique complexe, monde futuriste et magie cohabitent dans ce type de récit. La saga Star Wars, avec l’importance de la Force, appartient à la space fantasy.

Les sous-genres du fantastique

#16 Le roman gothique

Le roman gothique s’inscrit dans la logique d’un engouement pour le sentimental et le macabre qui se développe au XVIIIe siècle. Il se caractérise par la présence d’un certain nombre d’éléments de décor (crypte, manoir…), de personnages mais aussi de situations stéréotypées et de procédés narratifs. Le surnaturel et la magie noire (sorcellerie, exorcisme, vampirisme) y ont aussi leur place.

#17 Le slatter punk

Encore un genre que j’ai découvert avec cet article 🙂 Le slatter punk est un genre qui cherche à renouveler le fantastique et l’horreur en s’inspirant du réalisme et du défaitisme du courant punk : personnages crus, violents et déjantés, méchants plus réalistes, violence dévoilée, atmosphère sombre. American Psycho de Bret Easton Ellis est un roman sur lequel a déteint cette influence.

*****

Ce que je trouve particulièrement intéressant et qui a été démontré par les études littéraires, c’est qu’à chaque époque et à chaque culture correspond son genre. Les tragédies théâtrales sont liées à l’époque de la Grèce Antique, la comédie au théâtre s’est anoblie au XVIIe siècle en France grâce à Molière… Les genres littéraires qui nous paraissent nouveaux aujourd’hui et qui peuvent être considérés comme « moins nobles » pourraient donc un jour se ranger au même niveau que les autres.

J’espère que cet article vous aura intéressé.

A vendredi,

Marièke

Crédit image : Un thé en lecture, par Alisha Hieb (Unsplash, CC0). L’infographie est de moi, vous pouvez la réutiliser mais n’oubliez pas de citer Mécanismes d’Histoires si vous le faites 🙂

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12 comments

Elodye H. FREDWELL 23 mai 2017 - 14 h 35 min

Article super intéressant, je ne connaissais pas la plupart des genres et ça fait plaisir d’apprendre de nouvelles choses.
Il existe également la science fantasy qui va mêler la fantasy et des éléments plus modernes (genre dans un monde médiéval où il y a des armes a feu, par exemple).
Merci pour ton article !

Reply
Marie S. 23 mai 2017 - 21 h 18 min

J’ai quelques précisions à apporter quand tu parles du genre de la romance (je préfère ce terme car, en France, « roman d’amour » ou ses dérivés comme « roman à l’eau de rose » sont souvent employés de manière péjorative).
Par exemple, la chick-lit (qui est un phénomène qui remonte déjà à quelques années) fait plutôt partie de ce qu’on appelle le roman féminin. Cela ne relève pas de la romance puisque l’intrigue est plus concentrée sur la vie de l’héroïne que sur la manière dont elle construit une relation amoureuse durable, avec un happy end à la fin.
Pour la dark romance, je doute qu’il dérive du young adult (où les personnages ont au maximum 17 ans !). C’est un dérivé de la dark erotica qui aborde des sujets encore plus controversés et qui a été porté à la fois par le phénomène de la fanfiction et de l’auto-édition. En revanche, il est nécessaire qu’il y ait un happy end (aussi tordu que ça puisse paraître !) puisque cela relève du genre de la romance. Je n’ai pas lu Calendar Girl mais si elle a un amant tous les mois, je doute que l’on puisse classer ce livre dans le genre de la romance…
Enfin, pour le terme de bit-lit, il est à prendre avec des pincettes puisqu’il a été inventé par la maison d’édition Milady/Bragelonne pour désigner les romances paranormales (c’est une de leur collection et ça ne s’arrête pas aux vampires, il peut y avoir des loups-garous, des démons, etc.). Le terme n’existe pas en anglais. Si, en France, on peut classer Twilight en bit-lit, c’est plutôt un young adult (pour les premiers tomes) qui relève de la romance paranormale.
En tout cas, un article très intéressant comme toujours 🙂 !

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Marièke 26 mai 2017 - 8 h 22 min

Merci pour ces précisions 🙂
Juste une petite chose à mon tour : le ‘young adult’ ou ‘jeune adulte’ n’est pas du roman adolescent. Il met en scène des protagonistes qui peuvent avoir plus de 17 ans et les lecteurs ont entre 15 et 30 ans environ 🙂 Il traite plutôt de la période entre adolescente et âge adulte.

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Ghaan, l'écrivain alchimiste 3 juillet 2017 - 12 h 01 min

Je me glisse dans le débat! Déjà, tout à fait d’accord sur la chick lit, la romance peut être secondaire à l’amitié ou aux relations de travail. En passant, le terme «Chick lit» me hérisse le poil, péjoratif. On est pas des poulettes. À ce titre, les histoires à la Jason Bourne ou la James Bond on a qu’à appeler ça des «Coq story». Sérieux!

Sur la dark romance maintenant ^-^. Un phénomène qui m’intrigue beaucoup. J’aimerais tout d’abord ajouter le concept de romantic suspense. En fait, la dark, c’est aussi un mélange de thriller, d’être humains sombres, de milieux violents dans lesquels s’insèrent une romance. Vous me direz, en thriller, il y a parfois une romance? Mais là, au delà d’un simple add-on, l’univers dark va contraindre, empêcher ou magnifier la relation amoureuse. Bref, la romance et l’univers violent sont étroitement liés. Sinon, à mon avis, dire que la dark doit forcément avoir une happy end car romance, est un raccourci. Déjà, car la dark n’a pas peur de bousculer les codes. Donc, je vois mal une écrivaine de dark ne pas buter tout le monde à la fin si elle pense que c’est essentiel à l’histoire. Ensuite, et cela est ma théorie personnelle après avoir analysé quelques succès, la dark décrit une progression psychologique. Ce qui compte n’est pas forcément que tout finisse bien mais que ces personnages souvent tordus, se redressent et progressent vers la guérison. C’est un peu différent d’un happy end car le héros et l’héroïne n’ont pas à finir ensemble. L’important ici comme dans toute histoire, c’est le changement qui intervient dans le personnage.

Bref, merci Marieke pour cette liste exhaustive, ou presque, qui ouvre mille et une discussions!
^-^

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Marièke 20 juillet 2017 - 22 h 30 min

Tu fais bien de te joindre à la discussion 🙂

Oui, je suis totalement d’accord avec toi sur le côté sexiste du terme « Chick lit » : tu fais bien de le souligner.

Pour ton commentaire sur la dark romance, j’y adhère et je pense qu’on peut l’étendre à l’ensemble des genres au final : tous les auteurs peuvent prendre quelques libertés avec les genres dans lesquels ils écrivent.

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Paul A. Garance 15 juin 2017 - 22 h 36 min

Très intéressant. Toujours utile de clarifier ces notions tant les genres narratifs et leurs sous-genres foisonnent. Dans les salons, on me demande souvent ce qu’est le steampunk. Pour faire simple et rapide, je leur dis « Vous connaissez Jules Verne ? Bha c’est ça » ? Je ne connaissais pas non plus le slatter punk. Je me couche moins bête cette nuit. Merci ?

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Alice Nine 20 juin 2017 - 12 h 02 min

Super article, merci beaucoup, tout est très bien expliqué et c’est très intéressant de connaître tous ces genres. Je me perds souvent au niveau de la Fantasy. C’est plus clair maintenant !

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julie 30 septembre 2017 - 21 h 48 min

merci très instructif il y en avait que je connaissais et d’autres que je ne connaissais pas réellement et dans les genres je rajoute le néo-polar = D’une ambiance souvent violente et macabre : il dénonce la société contemporaine, les scandales politiques, affectionne le monde des marginaux et des exclus. Son terrain de prédilection est la ville et plus spécialement l’univers glauque des banlieues, il n’y a pas nécessairement d’enquête, mais la mort y est présente sous une forme souvent dure, œuvre de psychopathes et de tueurs en séries effrayants.

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julie 30 septembre 2017 - 21 h 48 min

et je rajoute pour les sous-genres des thrillers: Thrillers psychologiques du genre de psychose de hitcock sans enquête policière, le thriller policier, le thriller d’espionnage, thriller érotique (Thriller avec des scènes de sexe explicites.), thriller conspirationniste, thriller juridique, thriller politique, thriller fantastique, thriller horrifique, thriller de science-fiction, le techno-thriller (Thriller où la technologie est largement décrite et compte beaucoup pour l’intelligence de l’intrigue), Thriller historico-ésotérique (Thriller dont le récit est centré sur un ou des événements mystérieux, progressivement éclaircis par le raisonnement, les déductions, les connaissances et les recherches d’un ou de plusieurs enquêteur exemple: le Da Vinci Code)

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julie 30 septembre 2017 - 21 h 49 min

Moi j’adore les thrillers et polar policier et j’ai lu aussi un peu de roman noir et de néo-polar, pour les thrillers je veux me lire les thrillers des différents sous-genres surtout des thrillers juridique et thriller conspirationniste que j’ai pas encore lu ou thriller politique, dans ma pal j’ai des thrillers policier et science fiction mélangé qui m’attendent, des polars à énigme dont on ne sait pas le tueur et des thrillers psychologiques qui m’attendent et j’ai lu un thriller fantastique/Historique/Science fiction qui s’intitule « Touch » de claire north où on suit un fantôme qui possède des gens mais un tueur à gage est à ses trousses pour le tuer et ses hôtes on voyage dans le temps avec des flash-back mais aussi on voyage de corps en corps le fantôme peut posséder un enfant comme un adulte, une femme un homme et ça change vite c’est déstabilisant mais j’adore ça. En thriller psychologique j’ai adoré « la ferme » de tom rob smith, « le doute » de sk tremayne, « promenez-vous dans les bois » de ruth ware, « robe de marié » de pierre lemaitre, « celle qqui en savait trop » de linwood barclay, « juste une ombre » de karine giebel et « rêver » de franck thilliez. En uchronie je sais qu’il y a un livre de stephen king dessus « 22/11/63 » et en true crime dans ma pal j’ai « une si jolie petite fille » dans la tête d’une meurtrière de 10 ans où une journaliste l’a interviewé et il y a les livres sur billy milligan « les mille et une vies de billy milligan » et « les milles et une guerres de billy milligan »

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JC Heckers 4 octobre 2017 - 9 h 10 min

SF, points #6 et#10. Classer Zamiatine, Orwell et Huxley en anticipation ne doit pas faire oublier qu’ils sont avant tout des dystopistes de la plus belle eau, sinon les plus exemplaires. C’est une question de point de vue, mais j’estime pour ma part que l’anticipation est chez eux secondaire. Particulièrement chez Zamiatine (sans lequel Orwell n’aurait pu bâtir son 1984).

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Marie 23 novembre 2017 - 21 h 10 min

Super article, juste quelques ajustements à faire. La bit-lit ne s’arrete pas aux vampires mais englobe toutes créatures fantastiques (dragons, faes, loup-garou…) et la dark romance découle pas de la young adulte qui sont des romans ados mais de la new adult qui vise des jeunes femmes à partir de 18 ans. Calendar girl n’est pas de la Dark romance, visez plutôt never Forget, dark romance… voilà 🙂

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