Bilan du NaNoWriMo 2014

En ce dernier jour du nano 2014, un petit pincement au coeur — c’est déjà fini ! — et la satisfaction d’avoir réussi le challenge pour la troisième fois consécutive. Et ce, en une vingtaine de jours seulement ! L’année 2014 est donc mon année la plus efficace, signe que mes participations précédentes ont porté leurs fruits en matière de méthodes et d’astuces. Grâce au nano, j’écris plus et je me connais mieux  🙂 Voici mon bilan du NaNoWriMo 2014.

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Ma technique du pas à pas

Pour ce nano, j’ai répété les méthodes qui ont fonctionné auparavant.

1. J’ai commencé par tracer un plan. Quoique très vague, il comportait le début et la fin de mon histoire ainsi que les ébauches de quelques personnages.
2. J’ai ensuite fixé plus précisément mes premières scènes (ce qu’il s’y passe, les lieux, les personnages qui interviennent, quelques bribes de dialogue…).
3. Et j’ai commencé à écrire 🙂
4. Puis, tous les 10k environ, j’ai pris le temps de la réflexion et de la planification pour préciser mon histoire. À l’aide de questions toutes bêtes, j’ai construit pas à pas : qu’est-ce qui se passe ?comment mon personnage évolue ? Pourquoi ? Où va-t-il ? Et pleins d’autres encore.

Cette technique du pas à pas me permet de travailler sur de longs projets sans paniquer et d’éviter les trop grosses incohérences (enfin, j’ai l’impression ^^).

Une nouveauté cette année

En plus de ces techniques éprouvées lors de précédents nano, j’y ai ajouté un peu de technologie. J’ai acheté Scrivener en juillet dernier et j’ai couplé son utilisation avec l’application Evernote qui me permet d’écrire sur mon téléphone portable et de synchroniser avec mon ordi ensuite. Parfait pour écrire dans le métro.

Mon écriture est beaucoup plus efficace avec ces deux logiciels quoiqu’un peu robotisée : il y a peu de place à l’improvisation une fois le plan établi (même si je m’accorde des modifications). Aussi, le travail de réécriture, notamment au niveau du style, va être important. Par contre, ça me permet d’avancer vite et sans trop m’éparpiller.

L’émulation toujours aussi motivante

Si je n’ai pas eu l’occasion de participer aux événements et aux write-in cette année, l’excitation qui régnait sur les réseaux sociaux m’a permis de baigner dans l’esprit Nano chaque jour.

Chaque matin, je lisais les accomplissements et les questions de chacun et cela me donnait envie d’écrire. Ça entrait dans mon rituel : d’abord Facebook quelques minutes et puis hop !, je coupais internet et m’y mettais.

Merci aux ML pour leur implication !!!

Un oeil sur la relecture

Ayant terminé mon texte en 50 000 mots, pas de Nanofimo pour moi, mais je pense entamer assez rapidement la réécriture et l’édition de mon roman (et ne pas attendre le NanoEdmo en mars). Je ne sais pas encore trop comment m’y prendre mais durant ce nano, j’ai annoté toutes mes difficultés et doutes : je pense les utiliser pour la réécriture. Je partagerai ici mon avancée 🙂

Et ce qui est sûr, c’est que je recommencerai l’année prochaine 🙂 Peut-être pas pour les Camps Nano (car j’ai trois histoires à réviser) mais certainement en novembre !

À bientôt !