28 825 mots ! Après un dimanche laborieux et un lundi où j’ai pu gribouiller environ 2000 mots, j’ai décidé de changer un peu ma routine pour me forcer à avancer encore. Je suis allée écrire dans un café : le fait de me déplacer pour écrire me motive à le faire même quand je n’en ai plus envie.
Changer sa routine pour mieux écrire
Lorsque j’ai un peu de mal à écrire, que l’environnement ne m’inspire pas ou que les aléas du quotidien ne cessent de se rappeler à moi et de m’empêcher d’avancer, j’aime écrire dans un nouveau lieu. Souvent dehors (quand il fait plus chaud qu’en novembre…) ou dans un café. Je n’aime pas trop écrire dans les bibliothèques car j’apprécie le bruit et la vie autour de moi. Sans faire de publicité, j’apprécie l’ambiance Starbuck car commander un café suffit à y rester tout l’après-midi (ce qui n’est pas toujours possible dans un bistrot).
Difficultés pressenties
> Craignant pas mal la fin de mon récit, j’ai entrepris, un peu plus tôt dans la journée, de mieux en planifier la fin. Certains éléments manquent, mais ça devrait constituer une bonne trame tout de même, quitte à ajouter des scènes soit en cours de route, soit à la réécriture.
> J’avais un peu peur pour la longueur finale du roman, je me suis rassurée. Je suis à plus de 28000 pour 10 chapitres, et il m’en reste encore au moins 8 : j’aurai la matière pour les 50 000 mots 🙂
Un oeil sur la relecture
C’est marrant, j’éprouve plus de facilité à écrire sur des crises que sur le bonheur. Je devrais retravailler entièrement la scène du voyage de mes persos à Londres. C’est chiant et gnangnan à souhait ! Beurk 😉
Marièke :coffee:
[toggle title= »Image Credits »] Big Ben et le Parlement, Pixabay (CC0) [/toggle]
