Prendre un pseudo : les pour et les contre

by Marièke

Bonjour à tous !

J’avais envie de vous faire un point sur les salons du livre de l’année aujourd’hui mais je n’ai pas eu le temps de me poser devant mon ordinateur pour faire mes recherches cette semaine. J’ai donc décidé de vous faire un article qui me demandais un peu moins de recherches : un petit listing des raisons pour lesquelles il peut être intéressant, ou non, de prendre un pseudo en tant qu’écrivain.

Notez que cela dépendra avant tout de vous, de votre situation et de votre rapport à l’écriture.

*****

Avant de commencer

C’est quoi, un pseudo ?

Un pseudonyme (et donc un pseudo) est un nom d’emprunt qu’une personne porte pour exercer une activité sous un autre nom que celui de son identité officielle. Ce choix peut être fait pour de multiples raisons dont on va parler dans cet article.

Mon expérience

Pour ma part, j’ai décidé de ne pas adopter de pseudo et d’avancer à visage découvert. J’ai pris cette décision car j’ai décidé d’être fière de mon statut d’autrice – bien que je ne parle pas de ma passion au quotidien (ce blog me suffit). De plus, je trouve que mon travail et mon activité d’autrice se complètent bien (je suis notamment rédactrice Web) et que c’est donc pertinent. Enfin, ce choix est motivé par un désir de transparence. J’ai besoin de me sentir entière et vraie. Pour cela, je ne veux pas cacher des morceaux de ma personnalité. Toutes ces raisons sont personnelles et vous pouvez totalement voir les choses autrement !

Pourquoi prendre un pseudo

Détacher l’auteur de la personne

Aujourd’hui, la personne derrière le texte est parfois aussi importante que le texte. En effet, nombreux sont les personnages publics (politiques, sportifs, youtubeurs….) qui sortent un livre qui sera publié et vendu uniquement parce que c’est eux. Si ce mécanisme vous dégoûte un peu, créer un pseudo est une bonne solution pour séparer l’auteur de vous.

Écrire plusieurs genres

Certains genres littéraires sont très connotés. Je pense notamment à la romance, à la Fantasy… Il n’est pas toujours évident d’en sortir et de publier dans plusieurs catégories. Dans ce cas, avoir un pseudo par genre (ou un pseudo et son nom d’auteur) peut être une solution.

Se protéger

Si vous avez peur d’annoncer à votre famille ou à vos collègues que vous écrivez, vous pouvez opter pour un pseudo. Retrouvez à ce propos mon article : Faut-il faire son coming out d’écrivain ? C’est d’ailleurs la raison d’être première du pseudo : cacher son identité. Plus encore, cela peut aussi vous permettre de dépasser les préjugés en gommant un aspect de votre identité (votre sexe, vos origines…).

Jouer le jeu d’une histoire

À l’occasion de certains textes, il peut être intéressant d’opter pour un pseudo pour pousser l’immersion du lecteur jusqu’au bout. Mettons que votre narrateur s’exprime à la première personne et parle de sa vie… Mettre son nom sur la couverture peut être la petite touche finale à votre oeuvre.

Contre prendre un pseudo

Multiplier les communications

Si vous publiez sous votre nom et avez en plus un pseudo, vous risquez 1) de vous mélanger et 2) de devoir multiplier les outils de communication (page Facebook, site Web…).

Ne pas assumer

Cacher son identité est parfois un mécanisme qui rassure mais ce n’est pas toujours à votre avantage. En ne vous révélant pas personnellement en tant qu’auteur, vous pouvez être amené à ne pas vous impliquer à 100% dans ce projet. Parfois, s’affirmer est nécessaire.

Se protéger d’un mauvais texte

Je pense que l’on ne devrait pas utiliser un pseudo pour auto-publier un texte que l’on ne considère pas bon ou pas complet. L’anonymat peut permettre à certains de se cacher et de proposer des textes incomplets à la publication et en tant qu’auteur et que lecteur, je trouve cette pratique peu (voire pas du tout) correcte.

Une impression de mentir

Avoir un pseudo, c’est se cacher et jouer double-jeu auprès des lecteurs. Certaines personnes peuvent être très mal à l’aise avec cette sensation. (Je ne dis pas qu’avoir un pseudo est mentir, je ne le pense pas. Mais je pense sincèrement que certains auteurs peuvent se sentir en situation de mensonge.)

Trouver un mauvais pseudo

C’est le dernier risque du pseudo : en trouver un mauvais. Pas beau. Pas drôle. Pas attirant. Trop pseudo… L’exercice n’est pas facile et je n’aurais pas vraiment de bon conseil pour vous dire quoi prendre et comment faire pour choisir. Bon courage dans vos recherches du pseudo idéal 😉

****

Avez-vous un pseudo ? Quelles raisons vous ont poussé à en adopter un ?

À demain pour une newsletter en guise de point sur mon avancement du mois de février.

Bises,

Marièke

Crédit image : Un beau bureau de blogueuse, Arnel Asanovic (Unsplash, CC0)

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25 comments

Céline 2 mars 2018 - 8 h 21 min

Bonjour ! Article intéressant comme à chaque fois. Pour ma part, j’ai hésité à prendre un pseudo lorsque j’ai publié mon livre MM alors que d’ordinaire je n’écris pas dans ce genre. J’ai eu peur qu’on me catalogue dans ce style et qu’on ne s’intéresse pas à mes autres publications, pensant qu’il s’agit de la même branche (assez spécifique et rédhibitoire pour certains lecteurs). Finalement, j’ai décidé de m’assumer et surtout, je me suis dit que pour communiquer sur ses romans lorsqu’on est un auteur inconnu, il est plus judicieux de les regrouper sous le même nom. ^^

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Lydia 2 mars 2018 - 8 h 49 min

Ton nom est suffisamment reconnaissable pour que tu le gardes.
Tandis que le mien est un incognito tellement il est porté.
C’est la raison de mon pseudo.

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Amélie Hanser 2 mars 2018 - 8 h 53 min

J’hésite à prendre un pseudo pour écrire de la romance pour me différencier de mes projets de romans fantasy ou historique. J’ai trouvé un générateur d’anagrammes, une bonne solution pour trouver un pseudo réaliste. Cela dit, rien n’est encore fait chez moi.

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Hélène 2 mars 2018 - 9 h 46 min

J’ai eu la même réaction qu’Amélie : j’ai trouvé qu’il serait maladroit d’écrire sous le même nom des romans jeunesse et des romans adultes, du fantastique et de l’érotique, etc. Il m’a semblé plus clair pour les lecteurs d’adopter deux pseudos différents, sous lesquels je range des œuvres assez proches. En revanche, je n’ai pas beaucoup cherché… J’aurais dû penser aux anagrammes ! Je me suis contenté d’emprunter le prénom de mon mari.

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Elodye H. Fredwell 2 mars 2018 - 9 h 47 min

J’ai un nom d’auteur depuis des années. J’ai commencé à publier sur internet assez tôt et mes parents ne voulaient pas que j’en dise trop sur moi à l’époque. J’ai trouvé mon nom d’auteur et depuis, je l’utilise pour tout ce que je fais sur Internet. C’est devenue mon identité virtuelle. Et puis, mon prénom d’auteur et mon prénom d’origine sont le même, avec une lettre de différence (Elodie = Elodye), donc, je n’ai pas ce soucis de différence d’identité. Je me suis habituée à ce nom et je m’y identifie autant que mon véritable nom, en fait. Si on me l’enlevait ou si je devais le changer, j’aurais cette impression que l’on me retire une partie de mon identité.
Je ne vois pas trop l’intérêt de changer de pseudo ou de nom d’auteur selon le genre que l’on écrit. Je n’ai pas de genre de prédilection, je m’essaye à énormément de choses, et je veux être classée dans toutes les catégories dans lesquelles j’ai écrit. Changer de pseudo signifierait que moi, en tant que Elodye H. Fredwell, je n’aurais pas écrit cette histoire. Ce serait étrange, à mon sens.

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sophie 2 mars 2018 - 10 h 01 min

perso j’en prend un, mon livre est une vengeance. je montrerai qui l’a écrit s’il marche pour foutre les nerfs à ceux qui m’ont fait du mal

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Chera Hasnor 2 mars 2018 - 12 h 23 min

Merci pour cet article !
J’ai pour ma part prit un pseudo à l’origine pour les jeux en lignes. Il s’est rapidement étendu à une identité virtuelle notamment pour des forums d’écriture. J’ai décidé de publier mes livres sous ce nom car il est pour moi important de mettre une distance entre ma vie privé et ma vie publique : je considère qu’il n’est pas nécessaire de savoir qui je suis pour aimer ce que j’écris. Mais « Chera Hasnor » fait partie de moi depuis des années et je la considère comme une facette de moi-même (un peu mon identité secrète de batman 😉 )
Je te trouve un peu dure dans tes » contres », qui vont souvent plus dépendre de la personnalité de chacun et que je n’associerai pas directement au fait de prendre un pseudo ! Et tu pourrais rajouter en « pour » le fait d’avoir un nom réel trop répandu, trop compliqué ou qui ne parait pas esthétique (c’est aussi une des raisons qui m »a encouragé à prendre un pseudo).

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Marie Czarnecki 2 mars 2018 - 12 h 24 min

J’ai pris un pseudo parce que j’avais besoin de faire de l’écriture un jardin secret, quelque chose qui me séparait du travail et était uniquement centré sur le plaisir.
Le pseudo que j’ai choisi m’a aussi permis de rendre hommage à mes parents.

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Jenny 2 mars 2018 - 16 h 08 min

J’ai pris un pseudonyme pour séparer mes activités. Maintenant, je regrette un peu, car, effectivement, c’est une sorte de redoublement de personnalité, mais rien n’est figé. Je peux toujours reprendre mon nom. On verra !

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Astrid 2 mars 2018 - 16 h 53 min

Je compte publier sous mon vrai nom car je suis extrêmement fière d’en être arrivée là. Les histoires que j’ai en tête pour l’instant sont toutes plus ou moins dans le même genre (fantasy/steampunk) donc je ne ressens pas le besoin d’utiliser un pseudo pour aborder des genres spécifiques.
C’est intéressant quand même de noter que de très grandes romancières l’ont fait (J.K. Rowling qui a utilisé ses initiales pour cacher le fait qu’elle était une femme, Robin Hobb/Megan Lindholm qui utilise son nom ou son pseudo selon les séries).
En revanche j’ai un peu le problème inverse : j’utilise mon compte perso sur Facebook sous un nom déformé, mais comme je commence à rejoindre des groupes d’auteurs et de blogueurs avec ce compte pour parler de mes livres, je commence à me dire que je devrais protéger mon pseudo en créant une page à mon vrai nom !

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Jo Ann v. 3 mars 2018 - 11 h 37 min

Ma page pro est à mon vrai nom (puisque je publie sous mon vrai nom), c’est mon profil privé qui a un pseudo, haha !
C’est juste que je voulais me distancier de Facebook, donc j’ai supprimé mon ancien profil et je n’ai invité qu’une poignée de gens dans le nouveau. Quand on me cherche (avec mon vrai nom, donc), on tombe directement sur ma page.
La vie à l’envers, non ?

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Maude Perrier 2 mars 2018 - 18 h 41 min

Alors moi j’ai pris un pseudo pour plusieurs raisons en particulier pour différencier l’écriture de mon activité professionnelle.
J’admets que j’ai des difficultés parce que c’est vrai je ne me sens pas entièrement moi. C’est la raison pour laquelle lorsque je noue des relations je révèle très vite mon vrai prenom

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Jenny 20 mars 2018 - 15 h 06 min

Je suis exactement dans le même cas que toi !

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Lili 2 mars 2018 - 20 h 01 min

J’ai l’intention d’avoir un pseudo pour un de mes livres uniquement, celui qui est le plus personnel, auto-fictionnel, car je ne veux pas que des gens de ma famille puissent s’y reconnaître. Pour tous les autres je veux publier sous mon vrai nom 🙂

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Ram 2 mars 2018 - 22 h 11 min

Je compte prendre un pseudo (encore faut-il que je le trouve x) ). Je suis dans le milieu universitaire, et à cette occasion, je publie des articles sous mon vrai nom. Pour moi, prendre un pseudo, c’est une manière de séparer distinctement ces deux activités (et je doute que le milieu universitaire soit très ouvert à un chercheur publiant de la SF ou de la fantasy).

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Jo Ann v. 3 mars 2018 - 11 h 35 min

J’aime mon nom à en mourir, je refuse de prendre un pseudo ! 😀
J’écris de la romance, de la littérature générale et de la fantasy, mais tous ces genres en forment un seul : le roman féminin. On me reconnaît peu importe l’univers, et chercher un pseudo par genre, comme tu le dis, ce serait multiplier la multiplication ET diviser son lectorat. Il y a des lectrices qui ne liront que de la romance, par exemple, mais pour celles qui lisent de tout, elles n’hésiteront pas à tester un autre genre si elles apprécient la plume.
Je pense que je prendrais un pseudo, et encore !, si un jour je me lance dans l’érotique. Mais ce jour n’étant pas arrivé, tout peut encore arriver.

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Melgane 3 mars 2018 - 12 h 25 min

C’est drôle que tu dises que tu ne veux pas cacher de morceaux de ta personnalité parce que c’est précisément pour cette raison (c’est pas la seule mais c’est l’une d’elle) que si je suis publiée un jour ça sera sous pseudo !

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Béa 3 mars 2018 - 13 h 51 min

Mon expérience se limite aux blogs. Il y a une dizaine d’années, j’ai publié sous un pseudo. Un jour, une journaliste s’est intéressée à mon blog, m’a interviewée et a publié un article à mon sujet. S’en est suivi une expérience à laquelle je n’étais pas du tout préparée : certaines personnes de mon entourage familial et professionnel ont visité ce blog, alors que mes écrits n’étaient pas destinés à ce public-là.

Il m’aura fallu plusieurs années avant de réitérer l’expérience, le temps d’être prête à écrire « à visage découvert »… même si ce ne sont que mes timides débuts.

Bon week-end !

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Alixe 3 mars 2018 - 14 h 25 min

Article vraiment très intéressant ! Merci Marièke !

Pour ma part, j’utilise un pseudo mais garde le même prénom. Je n’ai ainsi pas du tout l’impression d’avoir une double personnalité quand on parle à moi/de moi en tant qu’auteure…

Au jour d’aujourd’hui, où tout le monde comme employeur, collègue peut facilement taper votre nom sur Google pour en savoir plus sur vous, le choix d’un pseudo a été évident pour moi. Je ne travaille pas du tout dans le milieu littéraire, mais dans un monde très carré et je pense que ça pourrait plutôt être mal vu dans ma profession de savoir que j’exerce à côté un travail plus « artistique » (et encore pire si c’est de la romance ! Ah ah… Car malheureusement, la romance a encore son étiquette de « sous-littérature »).

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Julien 4 mars 2018 - 17 h 07 min

Un très bon article! Pour le coup, je ne suis toujours pas décidé pour le pour ou contre le pseudo! ( je crois que j’attends un éclair divin un matin au réveil)

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Ed 16 mars 2018 - 1 h 42 min

Les arguments sont assez exhaustifs et je les comprends tous. Pour ma part, je penche vers le pseudo car le moi social n’est pas le moi écrivain. C’est une théorie que Proust a beaucoup défendu. Oui bon, je sais : il n’avait lui-même pas pris de pseudo 😀
Il n’empêche que j’associe la prise d’un pseudonyme à cette thèse à laquelle je souscris entièrement. Et heureusement qu’il y a une dissociation en chaque écrivain, sinon il n’y aurait plus de « moi social » ou plus de « moi écrivain » car l’un prendrait l’ascendant sur l’autre, jusqu’à le faire disparaître.

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Marièke 18 mars 2018 - 14 h 52 min

Oui, je comprends et j’aime bien cette idée de vouloir dissocier les deux personnages. C’est vrai que je n’en ai pas parlé 🙂

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PEBRAM 19 octobre 2018 - 15 h 48 min

Hello, je découvre avec un grand plaisir tes notes et tes conseils.
Ayant pris également un pseudo pour ma première publication en voici la raison :
A l’ère du stalking, je n’ai pas forcément envie qu’une recherche sur google mentionne mon identité d’auteur. Le fait que mon premier roman soit très autobiographique me permet aussi de mieux assumer « anonymement » ce que j’y raconte, mais ce statut n’est valable que pour mon employeur actuel et mes futurs. Ma famille est au courant, et la plupart de mes collègues ont d’ailleurs lu mon livre, donc bon (après ils me connaissaient avant que je sois publié…). Est ce que je regrette aujourd’hui ce choix ? pas encore. De plus, j’ai réussir à faire un parfait acronyme de mon prénom/nom, ce qui rend ce pseudo d’autant plus personnel…
Voilà 🙂

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Florence 19 juin 2020 - 21 h 42 min

Bonjour,
Merci pour cet article !
Penses-tu que l’on puisse prendre un pseudo basé sur un personnage de roman déjà existant (exemple : Gandalf, ou Hermione…), ou risque-t-on des ennuis avec les droits d’auteur ?
Merci d’avance de ta réponse,
Florence

Reply
Marièke 14 août 2020 - 18 h 39 min

Bonjour ! Honnêtement, je ne sais pas trop… Au-delà de l’aspect « Droits d’auteurs », je pense que reprendre en pseudo un nom de personnage existant te classe directement dans une case (Fantasy avec Gandalf, jeunesse avec Hermione et ainsi de suite). Du coup, difficile de créer ta propre personnalité et de ne pas être renvoyée à ta propre création. Donc je ne le conseillerai pas au risque de t’enfermer.

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