Les métiers de l’écriture : peut-on gagner sa vie en écrivant ?

by Marièke

Alors que les métiers du livre sont nombreux – à la fois pour créer le livre et l’objet livre, mais aussi pour les vendre – les métiers de l’écriture sont beaucoup plus restreints. Si le métier d’auteur est connu – et souvent pensé avec inquiétude tant il est lié à des problèmes financiers – c’est bien l’un des seuls métiers de l’écriture à sortir du lot. J’ai donc décidé de vous faire un petit article sur les différents métiers de l’écriture auxquels vous pouvez aspirer si vous aimez écrire.

PS : Dans les semaines qui arrivent, je vous proposerai le même type d’article récapitulatif sur les métiers du livre, les métiers de l’objet livre et les formations pour devenir éditeur.

*****

#1 Auteur

Un auteur écrit des romans qui sont publiés au sein d’une maison d’édition ou auto-publiés. Ses revenus lui viennent des droits d’auteurs qui lui sont reversés mais aussi d’actions menées dans le domaine de l’écriture : lectures, signatures, ateliers d’écritures, conférences…

Auteur publié et auteur auto-édité

Pour moi, il n’y a pas de véritable différence entre les auteurs édités par des maisons d’édition et les auteurs auto-édités car leur travail est sensiblement le même. A part les têtes d’affiche des grosses maisons d’édition, les auteurs ont tous un rôle de promotion et de diffusion de leur oeuvre en plus de leur travail d’écriture.

La différence se joue essentiellement :

  • sur un plan moral : la reconnaissance sociale est plus importante pour les auteurs publiés que pour les auteurs auto-publiés qui ne sont souvent pas reconnus comme des auteurs ;
  • sur un plan fiscal : si l’éditeur paie l’auteur en droits d’auteur par l’intermédiaire de l’Agessa (sécurité sociale des auteurs, traducteurs et illustrateurs), il semblerait que l’auto-édité doive créer un statut d’auto-entrepreneur pour encaisser légalement ses revenus. (Les centres d’impôts n’ont pas tous le même discours sur la question, il faudrait que je prenne contact avec l’Agessa pour vous faire un article sur le sujet).

Le salaire moyen de l’écrivain

Inutile de vous dire ici que les auteurs ne gagnent pas tous autant que JK Rowling et Stephen King. En France, en 2015, selon l’Agressa, sur les 20 000 auteurs français, il y aurait moins de 1700 écrivains qui déclarent plus de 7300 euros de revenus par an. Le salaire moyen de 98% des écrivains et auteurs publiés est de 611€ par mois (il n’y a aucune étude pour les auto-édités). Bref, pas beaucoup.

EDIT/ Scénariste, parolier, auteur de pièces de théâtre

Suite à un commentaire de Mansp@g, j’ajoute à ma liste les métiers de scénariste, parolier, auteur de pièces de théâtre qui sont d’autres variantes du métier d’auteur – métier souvent lié à l’écriture de romans. A chaque fois, il s’agit de vendre leur force de créativité ou d’être payés en droit d’auteur en l’échange de la diffusion de leur texte. Selon les secteurs, les revenus et les usages sont différents mais l’ensemble de ces métiers sont assez difficiles d’accès.

#2 Blogueur

Un blogueur tient un blog (site mis à jour régulièrement grâce à la publication d’articles). Il tire ses revenus de la publicité (affichage de publicités ou achat de contenus par les annonceurs) mais aussi de la vente de produits qu’il crée et met en vente (ebook, formations en ligne ou de visu…)

Le blogueur, l’entrepreneur du web

Plus qu’aimer écrire, le blogueur doit être capable de se spécialiser dans un sujet et surtout d’avoir une véritable vision d’entreprise pour son blog. En effet, il ne s’agit pas seulement d’écrire des articles qui plairont à ces lecteurs, il faut :

  • Avoir un plan pour développer son activité et savoir rebondir rapidement en cas d’échec
  • Avoir de bonnes connaissances en marketing et en communication
  • Connaître les bases du SEO (ou référencement naturel) : pour cela, il doit opérer une veille et rester au courant des différentes tendances ;
  • Être capable d’utiliser les réseaux sociaux et d’en connaitre les subtilités
  • Savoir utiliser les outils pour publier des newsletters
  • Savoir gérer son site web

Le salaire moyen du blogueur

Contrairement aux formules miracles que quelques blogueurs cherchent à vous vendre sur internet, la majorité des blogueurs ne gagnent rien grâce à leur blog – ou seulement quelques dizaines d’euro par mois qui leur permettent à peine de couvrir les frais d’hébergement de leur site. Comme l’auteur richissime, le blogueur richissime est un mythe, une exception. Les études sont encore rares sur ce nouveau métier, mais retenez que gagner 1000 € par mois en tant que blogueur, c’est rarissime et ça demande un travail colossal.

#3 Journaliste

Le journaliste web, de presse écrite ou le pigiste ont pour objectif de transmettre l’objet de ses recherches à travers l’écriture. L’écriture est donc pour lui un moyen de transmettre des informations factuelles et des opinions. Il travaille dans un média dont il suit la ligne éditoriale et adopte le ton. Les sujets sur lesquels il écrit sont souvent établis au départ lors d’une conférence de rédaction.

Le journaliste et le pigiste

Contrairement au journaliste employé au sein d’un média qui n’a « pour seul travail » que de chercher des idées d’article et de les soumettre à ses supérieurs avant de les écrire, le pigiste a en plus le devoir de vendre ses sujets. Comprenez ici que le pigiste n’est pas rattaché à un seul média mais à plusieurs : il a donc un travail de commercial à effectuer préalablement à son enquête et à son travail de rédaction.

La limite : un métier en évolution

Depuis plusieurs années, le journalisme traverse une période de crise et d’intense remise en question. Comprenez : les CDI ne courent pas les rues et la concurrence est rude. La plupart des journalistes commencent ainsi à exercer en tant que pigiste avant de trouver un poste fixe au bout de plusieurs années d’exercice. Je parle ici au vu de ma propre expérience et de celles des personnes que je continue à côtoyer : il n’est pas inscrit dans le marbre qu’un journaliste doit attendre ses 45 ans pour trouver un CDI 😉

Le salaire moyen d’un journaliste

En moyenne, un journaliste débutant gagne entre 1 700 € et 2 300 € par mois. Ce salaire augmente avec le nombre de responsabilité : chef de rubrique, rédacteur en chef adjoint, puis rédacteur en chef. Ce dernier peut gagner jusqu’à 4000 € par mois.

Comme indiqué précédemment, le pigiste a un statut plus particulier. D’une part, le prix d’une pige varie selon le support. Un feuillet (1 500 signes) est rémunéré autour de 100 € sur le papier, beaucoup moins sur le web (30 à 40 €). De plus, son salaire dépend du nombre d’articles vendus par mois. La clé des journalistes pigistes réside souvent dans la spécialisation.

#4 Ecrivain public

L’écrivain public est la plume de ceux qui n’en ont pas. Il peut se placer du côté de l’aide administrative – il écrit les lettres administratives des personnes qui ne savent pas écrire ou ne comprennent pas les démarches, il assiste la mise en place de dossiers administratifs, il lit les missives et répond pour les gens. Mais aussi écrire des textes travaillés et des romans à la place des gens : mémoires, voeux et contrat pour un mariage… Il peut travailler au sein d’associations ou à son compte.

Un métier qui demande de l’écoute

Comme les métiers cités ci-dessus, le métier d’écrivain public a peu de débouchés et le salaire à espérer est faible. C’est un métier différent puisqu’il demande un intérêt pour les mots mais surtout un intérêt pour les autres. En effet, il s’agit plus de mettre ses mots au service des autres que de faire valoir le style de sa plume.

Le salaire moyen de l’écrivain public

En 2013, 1000 travailleurs indépendants étaient référencés sous l’activité écrivains publics et conseils en formalités administratives. Les salaires qu’ils déclaraient étaient entre 400 et 600 € par mois.

#5 Rédacteur web

Le travail d’un rédacteur web n’est pas foncièrement différent de celui d’un journaliste de la presse écrite et surtout, de la presse web. La plus grosse différence est que ses textes n’ont pas pour objectif d’apporter la connaissance sur un sujet, comme le journaliste, mais d’amener le lecteur à avoir une réaction : acheter un produit, s’inscrire à une newsletter… Le rédacteur web travaille en collaboration avec le service communication et marketing de son entreprise.

Un métier en développement qui demande de la polyvalence

A la différence des trois métiers ci-dessus, le métier de rédacteur web a des débouchés. De multiples débouchés : les sites internet ont besoin de rédacteur pour écrire et publier leurs innombrables fiches produits qui ne cessent de se démoder. Cependant, rédacteur web est un métier qui demande plus que la simple capacité à écrire.

Quelques produits sur lesquels le webrédacteur peut travailler :

  • des pages de site
  • des billets de blog
  • des fiches produits
  •  des articles ou des dossiers
  • des ebooks
  • des guides
  • des recettes
  • etc.

Comme le blogueur, le rédacteur web doit :

  • Connaître les bases du SEO (ou référencement naturel) : pour cela, il doit opérer une veille et rester au courant des différentes tendances ;
  • Être capable d’utiliser les réseaux sociaux et d’en connaitre les subtilités : c’est souvent lui qui est chargé d’animer les réseaux sociaux
  • Savoir utiliser les outils pour publier des newsletters
  • Savoir utiliser le site web de l’entreprise où il se trouve (il écrit ET publie les fiches produits)

Plus encore, ce métier demande une capacité à accepter la répétition (écrire une fiche produit, ça va, écrire 10 000 fiches produits, c’est moins cool…) et une capacité à aimer les mots et l’écriture malgré les contraintes techniques. Ecrire une fiche produit, ce n’est pas écrire un roman de fantasy, l’imagination est un peu plus bridée et le ton, imposé par l’employeur.

EDIT/ Suite à une remarque d’Audrey, rédactrice web de métier, j’ajouterai ici que le métier dépend énormément de votre statut (employé ou à votre compte) et de l’entreprise où vous vous trouvez.

Le salaire moyen du rédacteur web

Le rédacteur web, à la différence des métiers précédents, peut espérer se faire employer en CDI dans une moyenne ou grosse entreprise, avec un salaire compris entre 1200 et 2000 € net par mois (entre 20 et 30 K€ annuels brut). Il peut même espérer augmenter de position et devenir web marketeur ou un truc du genre.

*****

Au final, la plupart des métiers liés à l’écriture sont des métiers peu rémunérateurs qui demandent énormément d’engagement. Cependant, en choisissant d’avoir une stratégie précise – publication régulière de livres, création d’ateliers d’écriture, ouverture d’un blog ou encore mandat d’écrivains publics au sein d’association – je pense qu’il est possible de gagner sa vie en écrivant. Je vous en parlais dans mon article Vivre de sa plume quand on n’est pas un écrivain célèbre. Je vous invite à revisiter cet article.

Si vous connaissez, voire faites, un autre métier qui implique fortement l’écriture, n’hésitez pas à m’en faire part, je l’ajouterai dans cet article car je suis sûre que ça pourra en intéresser plus d’un !

A vendredi,

Marièke

Crédit image : Café, carnet, ordinateur : les ingrédients de l’écrivain par Melinda Pack. (Unsplash, CC0)

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18 comments

Joséphine 11 avril 2017 - 8 h 19 min

Le rédacteur web peut aussi être community manager (ou social media manager) car animer un site d’entreprise et/ou un blog c’est aussi une mission d’un community manager. C’est des métiers à plusieurs facettes.
Après c’est sûr que s’il n’y a que l’écriture web, le salaire n’est pas le même que celle d’un community manager qui rédige aussi pour tous les réseaux sociaux et qui en plus est toujours en « veille » (à surveiller les réactions des personnes qui parlent de la marque pour laquelle il travaille)

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Marièke 11 avril 2017 - 8 h 24 min

Pour le coup, community manager et social media manager sont des jobs différents : il s’agit surtout de gérer les réseaux sociaux d’une entreprise, pas d’en écrire les articles. Après, il est vrai que la majorité des annonces pour des jobs demandent aux employés de faire les deux 🙂 (et le café, et les communiqués de presse, et la relation client et, et, et…). Ces jobs sont un peu fourre-tout 😉

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Elodye H. FREDWELL 11 avril 2017 - 8 h 19 min

J’ai longtemps penser à devenir rédactrice web, mais finalement, il n’y avait pas assez de créativité pour moi, ça ne me convenait pas.
Pour les écrivains publics, tu as parlé que de la partie administrative, mais il existe des écrivains publics qui écrivent à la place des gens des romans. Comme expliqué sur Wikipédia :  » De plus, grâce aux technologies de la communication et de l’information, l’écrivain public contemporain peut développer un large éventail de services rédactionnels : documents administratifs, courriers personnels, discours, faire-part, pages Web, biographies, récits de vie, textes littéraires, corrections, réécritures, etc » C’est donc un peu plus vaste que ce que tu as abordé.
Dernière petite chose, il doit manquer un paragraphe après « sur un plan moral : la reconnaissance sociale est plus importante pour les ». La phrase n’est pas complète 🙂
Merci pour cet article !

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Marièke 11 avril 2017 - 8 h 27 min

Et oui, la rédaction web manque un peu de créativité… mais quelqu’un qui aime les mots et l’aspect technique peut s’y retrouver. Comme toi, je me suis un peu ennuyée dans ce job au final assez répétitif.
Tu as raison pour les écrivains publics, j’ajoute cette partie du métier 😉 Et je complète le paragraphe. Des fois, mes idées passent du coq à l’âne et j’oublie de compléter tout ce que j’écris ^^’

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Mansp@g 11 avril 2017 - 8 h 37 min

Salut Marièke !

Très sympa ton article ! Par contre je trouve qu’il manque quand même quelques métiers que tu n’as pas abordé (peut-être que c’était voulu ?), comme scénariste, scripte, parolier, lyriciste, …

Bonne journée !

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Marièke 12 avril 2017 - 7 h 43 min

Tu as raison, je ne les ai pas mentionné car ils faisaient tous parti du métier « auteur » dans ma tête. Je les ajoute ! Merci 😉

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PP 11 avril 2017 - 9 h 57 min

Bonjour Marièke,
« lectures, signatures, ateliers d’écritures, conférences… » : sur ces quelques exemples, nous ne sommes pas rémunérés sur les lecture, signatures et conférences. Ce n’est pas pour rien que, comme vous le citez dans votre article, 98% des auteurs n’ont même l’équivalent d’un SMIC !

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PP 11 avril 2017 - 10 h 00 min

Egalement, attention aux fautes, vos articles ont toujours pas mal de coquilles !
« selon l’Agressa » –> Agessa, quand même !

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Marièke 12 avril 2017 - 7 h 34 min

Vous avez le droit de le dire gentiment aussi… 😉
Je corrige.

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Marièke 12 avril 2017 - 7 h 33 min

C’est vrai, mais signature et lecture sont l’occasion de faire sa promotion en tant qu’auteur. C’est aussi un échange avec les maisons d’édition. En tant qu’entrepreneuse, je suis bien placée pour savoir que toutes les actions de communication ne sont pas forcément rémunérées…

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PP 14 avril 2017 - 14 h 20 min

« Ses revenus lui viennent des droits d’auteurs qui lui sont reversés mais aussi d’actions menées dans le domaine de l’écriture : lectures, signatures, ateliers d’écritures, conférences… » : vous laissez entendre dans cette phrase que si, nous sommes bien rémunérés (en Euro, pas com’) sur ce type d’événement. A éclaircir peut-être ?

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Marièke 14 avril 2017 - 15 h 35 min

Toutes ces activités peuvent être rémunérées, notamment les conférences et les ateliers d’écriture. Cela dépend des maisons d’édition et des contrats passés avec elles…

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audrey 11 avril 2017 - 10 h 13 min

Bonjour,

Tout d’abord merci pour cet article. Je suis moi-même rédactrice web et je le suis depuis maintenant 8 ans. Bien entendu, je suis également une créative et je ne suis pas d’accord avec le fait que le métier manque de créativité…
Bien au contraire. Les contrats sont toujours différents et la créativité est essentielle sinon toutes les pages seraient identiques, les textes aussi.

Le métier de rédacteur web ne se limite pas à la simple production de textes. Les supports sont très variés et doivent répondre aux exigences du SEO. On peut écrire :
– des pages de site
– des billets de blog
– des fiches produits
– des articles ou des dossiers
– des ebooks
– des guides
– des recettes
– etc.
la liste des contenus est très longue. Et chaque travail peut conduire à faire preuve d’une grande créativité.
Certains travaux sont effectivement répétitifs mais l’organisation est la clé d’un temps bien utilisé. 🙂

D’ailleurs, après 8 ans, je peux dire que je n’ai pas encore fait le tour du métier ! J’ai ouvert un centre de formation pour former les gens qui souhaitent à leur tour devenir rédactrice web 🙂

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Marièke 12 avril 2017 - 7 h 37 min

Je suis d’accord avec toi. Je dirai que ça dépend de ton type emploi : si tu es à ton compte, je suis tout à fait d’accord, les contrats sont divers et la créativité stimulée. Mais tu perds en stabilité financière. Quand tu bosses pendant deux ans dans la même société à faire des articles de blog pour présenter des objets et des fiches produits sur ces mêmes objets, c’est un peu plus compliqué 😉 (c’est du vécu)

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William 11 avril 2017 - 11 h 39 min

Bonjour Marièke,
Très bon article. Cependant, tu ne parles pas du métier de correcteur, pourtant indispensable, au moins aux écrivains… A moins que cette profession ne soit quelque peu tombée en désuétude? A lire, parfois, certains romans, c’est un peu l’impression que ça donne, mais bon…
Bonne journée,

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Marièke 12 avril 2017 - 7 h 40 min

Effectivement, je n’ai pas évoqué ce métier car, dans mon esprit, il faisait plutôt partie des métiers de la chaine de production d’un livre et que ce n’était pas un métier de l’écriture et plus un métier de la technique de l’écriture. Je vais en parler dans un prochain article 🙂
PS : je crains que tu aies raison, le métier de correcteur est un métier en grande difficulté, il me semble.

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Laurentine 4 mai 2017 - 10 h 04 min

Bonjour Marièke,

Merci pour cette série d’articles très instructifs et qui permet d’avoir une vue d’ensemble sur les différents métiers liés à l’écriture.
Concernant cet article en particulier, je n’ai pas vu le métier de Rédacteur Technique. Ce dernier écrit des documents, souvent des manuels, pour des entreprises. Sans l’exercer moi-même, je travaille en étroite collaboration avec un rédacteur technique et, à son contact, j’ai appris à utiliser certains de ses outils. J’en ai également appris plus sur ce métier.
Mais peut-être est-ce parce que ce métier ne se rencontre pas dans la chaîne du livre que tu n’en as pas parlé.

Bonne journée,

Reply
Bossy 11 avril 2018 - 21 h 01 min

Bonsoir
Article très intéressant, j’aimerais savoir si on est auteur, comment faire pour se faire payer pour des séances de lectures, si on possède pas d’entreprise? Merci !

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